Après avoir voté pour sa défense fonctionnelle au conseil municipal, la maire (LR) de Montauban a annoncé dans une vidéo que sa plainte pour “dénonciation diffamatoire” était dirigée contre le parlementaire socialiste et ancien conseiller municipal de Montauban, responsable de toutes ses malheurs en cas de suspicion de détournement de deniers publics.
Selon Brigitte Barge, “l’affaire n’est pas close”. Jusqu’à ce qu’elle ait pu assister et donc s’exprimer, ce lundi soir, au conseil municipal, lors du vote, qui lui assurera une protection fonctionnelle, avant qu’elle ne puisse porter plainte au civil auprès du procureur de la République pour “dénonciation diffamatoire” » Dans la vidéo, la maire (LR) de Montauban. Contrairement à la mairie, qui n’a pas nommé une seule personne qui fera l’objet de sa future plainte, par son nom, Brigitte Barge a cité ses objectifs cette fois : Valérie Rabo, Député du PS de la première circonscription du Tarn-et-Garonne et Claude Mushar, l’ancien conseiller PS Jean-Paul Furman, qui aurait provoqué tout le scandale, a contacté les deux élus socialistes en février 2014. L’ancienne Brigitte Barèges, destituée après une procédure disciplinaire prétendument payée par la collectivité pour écrire des articles élogieux sur le candidat à la mairie de Montauban pour son propre héritage. uniquement le procureur en vertu de l’article 40 du code de procédure pénale, qui oblige tous les élus à signaler un crime potentiel dont ils ont connaissance.
La plainte n’a pas encore été déposée auprès du parquet.
Huit ans après l’ouverture de l’enquête sur des soupçons de détournement de fonds, cinq mois après sa libération, Brigitte Barge n’a pas voulu tourner la page. “Parce que le doute existera toujours”, a-t-elle déclaré. Condamné à cinq ans en première instance par une interdiction temporaire (février 2021), privé de tous ses mandats pendant 11 mois et finalement libéré en décembre dernier, celui qui est depuis devenu maire n’a rien oublié. “Je n’ai pas oublié les deux jours d’interpellation policière au commissariat de Toulouse”, a-t-elle expliqué dans sa vidéo. Je ne peux pas oublier le cachot, la prison où j’ai été emprisonné pendant quelques heures… Cette cellule, où je ne pouvais pas m’asseoir, entendant tous les cris des autres prisonniers, tous les hommes, je n’étais qu’une femme là-bas … « Le maire…. » Par Montauban n’oublie pas le procureur du tribunal correctionnel de Toulouse, qui a requis cinq ans d’emprisonnement parce que c’était trop lent… et son collègue, l’avocat général du tribunal correctionnel de Toulouse d’appel, qui a estimé qu’il fallait ajouter une autre année de non-admission pour m’empêcher de me présenter aux élections municipales de 2026. . Pendant ce temps, Valérie Rabo, députée et Claude Mushar n’ont pas voulu réagir.
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